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Cette section est principalement destinée aux messages à l’intention de mes compatriotes canadiens. Si vous êtes un nouvel arrivant et que vous êtes pressé, n’hésitez pas à passer au sujet suivant.
Lors d’une campagne fédérale, j’ai rencontré une femme qui m’a dit : « Je suis désolée, mais je ne suis pas encore citoyenne canadienne. » Elle pensait que cela signifiait qu’elle ne pouvait pas s’impliquer en politique. Ce moment m’a ouvert les yeux sur le nombre de nouveaux arrivants qui partagent cette croyance et sur le potentiel que nous perdons en tant que pays lorsque nous ne les aidons pas à comprendre comment ils peuvent participer.
Pourquoi j’ai écrit ce guide
« Je suis désolée, mais je ne suis pas encore citoyenne canadienne. » C’est ce qu’on m’a dit pendant que je frappais aux portes lors d’une campagne. Cela m’a fait réaliser que beaucoup de gens croient que s’ils ne sont pas citoyens canadiens, ils ne peuvent pas s’impliquer dans la politique fédérale ou aider à créer un changement dans le pays. C’est tout simplement faux.
Même sans citoyenneté, s’ils vivent au Canada, la politique fédérale a un impact sur leur vie. En fait, les non-citoyens ont souvent encore plus d’enjeux, notamment en ce qui concerne les politiques d’immigration. Les décisions concernant le fait de rester au Canada, de devenir citoyen ou de parrainer des membres de la famille dépendent toutes de la politique fédérale.
Bien que les non-citoyens ne puissent pas se présenter à des élections ou voter lors des élections1, ils ne sont pas impuissants. Les résidents permanents, par exemple, peuvent faire des dons politiques2 et voter lors des courses à la direction des partis, aidant à décider qui pourrait devenir le prochain premier ministre.
Et rien ne les empêche de faire du porte-à-porte pour un candidat3, même s’ils ne sont pas encore résidents permanents. Une fois que les gens réalisent cela, beaucoup choisissent de faire du bénévolat et de travailler aux côtés des autres pour améliorer le pays. J’ai vu de nombreuses personnes consacrer plus de temps et d’efforts à ces activités que la plupart des citoyens canadiens, même s’ils ne sont pas encore résidents permanents.
À partir de 2025, plus de 7 % de la population du Canada est composée de résidents non permanents. En incluant les résidents permanents, plus d’une personne sur dix dans nos communautés est un non-citoyen. Il est malheureux que tant de gens ne réalisent pas leur potentiel de contribution, même s’ils ont souvent plus d’enjeux que les citoyens dans certains domaines.
Pourquoi il peut sembler difficile de s’impliquer
La participation politique des nouveaux arrivants est souvent difficile en raison de plusieurs couches de lacunes d’information.
Tout d’abord, il y a un écart dans la compréhension de la façon dont la politique fédérale affecte leur vie. Les personnes élevées au Canada ont des opportunités de recevoir une éducation sur les droits civiques ou d’apprendre par l’expérience vécue. Mais les nouveaux arrivants peuvent avoir reçu un type d’éducation civique différent, influencé par un système politique différent. Dans certains pays, le système éducatif n’encourage pas la sensibilisation politique parce que le gouvernement peut ne pas vouloir que les gens participent. En conséquence, les nouveaux arrivants peuvent ne pas comprendre pleinement à quel point les politiques fédérales canadiennes impactent leur vie.
Deuxièmement, les gens peuvent ne pas réaliser qu’ils ont le pouvoir d’influencer la politique par leur participation individuelle. Dans certains pays, les systèmes démocratiques sont limités ou faibles. Même dans des démocraties fonctionnelles, l’influence des individus peut varier. Dans certains endroits, les gouvernements changent rarement, ou les résultats politiques sont dominés par des élites riches ou des groupes religieux ou ethniques spécifiques. En revanche, le Canada offre aux individus une influence plus directe sur la politique. Comprendre cette différence est essentiel pour aider les nouveaux arrivants à voir leur propre pouvoir de façonner la société ici.
Enfin, il y a souvent un manque de connaissances sur la façon de participer. Les styles et pratiques de campagne varient considérablement à travers le monde. Les idées concernant les dons politiques ou le bénévolat peuvent sembler inconnues ou même suspectes selon le parcours de quelqu’un. Naturellement, les gens sont hésitants à participer à des choses qu’ils ne comprennent pas. C’est pourquoi l’inconnu peut devenir un obstacle majeur à la participation politique.
Ce que signifie “guide pour nouveaux arrivants”
Ce guide est axé sur la fourniture d’informations pratiques sur la façon de participer à la politique fédérale canadienne afin que les lecteurs puissent faire le prochain pas : trouver des informations fiables et se connecter avec les bonnes personnes. Ce prochain pas est là où l’action significative commence.
De plus, en expliquant à quoi ressemble une campagne canadienne typique, ce guide aide à empêcher les nouveaux arrivants d’être entraînés dans des activités politiques inappropriées ou trompeuses.
Pour servir cet objectif, ce guide garde les choses simples. Dans les sections expliquant la politique canadienne et le système électoral, j’ai fourni uniquement les informations essentielles nécessaires pour s’impliquer. Ce guide ne couvre également pas la gestion de campagne en coulisses.
Ce guide peut également être utile pour les citoyens canadiens qui souhaitent en savoir plus sur les élections et les campagnes. Cependant, l’objectif principal est de fournir aux nouveaux arrivants des conseils clairs et ciblés afin qu’ils puissent commencer à participer en toute confiance à la vie politique canadienne.
Références
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Voter à une élection fédérale, Élections Canada ↩
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Comprendre les contributions, Élections Canada ↩
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Foire aux questions, Élections Canada ↩